Je voulais écrire quelque chose ssur le désespoir et l'auto-utilation ca donne pas ce que je voulais mais l'idée est là. A travailler donc...
La peur et le chagrin vont encore se mêler,
Afin de procréer une nouvelle sensation damnée
Celle qui guette au détour du chemin
Qui fera s’ouvrir la terre sur la route du destin
Amour, mot tendre et délicate sensation,
Brisé, effacé par une rude séparation
A présent la chair se meurt,
Non elle n’est pas en péril
Ce mal la ronge de l’intérieur
Ses ravages subtils
Sont bien plus douloureux
Ils dévorent le cœur et ternissent l’humeur
Sabotent et fragilisent les ardeurs
Frissonner de dégout à son égard,
Ne plus pouvoir se regarder en face dans un miroir
La chair réagit comme si elle était blessée
Alors pour soulager cette douleur insensée
On prend une lame pour que le sang puisse couler.
La première goutte du liquide pourpre échappée,
Enfin ce mal devient palpable
On savoure ce moment de liberté
Malheureusement peu durable
On sent la douleur sur sa peau
Qui hurle sous la souffrance de vrais maux