La toute puissante
Quand tu pleures, je pleur quand tu ris, je pleur encore
Repoussante de haine je hurle à la mort
Monotones fossés, les trous noirs enfoncés
Ravissement d’un cercueil, les mesures faussées
Rayon de lune sur ta peau, sanguine clarté
Qui dans la nuit c’est évadé pourchassez-la !
Pourchassez ses filles de le leurs crises je suis las
Je suis las d’entendre leurs pleurs écartelés
Les chevaux aux ailes macabres
Entre en transe ruent et cabrent
M’emporte avec eux vers elle
Reine sage aux couleurs pastelles
Sanguine vengeance, et voici le Roi, enfin !
Je lui ris au nez ce qui approche est… la fin
Enfant de la lune et du soleil, écoutez !
Sans moi, La Maîtresse, vous seriez déroutés
Je suis La toute puissante
Mais dans mon sommeil c’est bien toi, Toi qui me hantes
Fazùo
voilà!